Questions fréquemment posées
Certains programmes d'études prévoient une expérience professionnelle obligatoire dans le cadre de leur cursus.
Par conséquent, si votre programme d'études comprend un programme d'enseignement coopératif (obligatoire), vous devez présenter une demande de permis d'enseignement coopératif en même temps que votre demande de permis d'études (de nombreuses écoles émettent une lettre appuyant la délivrance d'un permis d'enseignement coopératif à soumettre avec votre demande). . Vous devez ensuite présenter une demande de permis d'enseignement coopératif à l'agent de l'ASFC lorsque vous entrez au Canada, qui est différent de votre permis d'études et qui doit être délivré à votre entrée au Canada.
N'oubliez pas que le permis de travail coopératif n'est pas le même que le permis de travail hors campus de 20 heures du permis d'études. Le permis de travail coopératif est un permis de travail distinct, il n'est pas lié à l'autorisation de travailler à temps partiel au Canada.
Autres questions susceptibles de vous intéresser
Ce membre de la famille devient votre parrain financier (qu'il fournisse tout ou partie de l'argent). Votre parrain est tenu de faire une déclaration sous serment : https://www.immilandcanada.com/declaracion-jurada/declaracion-jurada-de-un-patrocinador-y-o-herencia.
Pour l'instant, nous disposons d'une coordination avec un fournisseur pour transporter des animaux de compagnie de Colombie, du Pérou et du Panama, mais nous ajouterons bientôt d'autres pays.
Non, elle exige uniquement des traductions effectuées par un traducteur agréé.
Si Immigration Canada découvre que vous n'avez pas respecté les conditions de votre permis d'études, on peut vous demander de quitter le Canada et/ou cet élément peut créer un historique d'immigration négatif qui pourrait avoir des répercussions sur le traitement futur. Veuillez examiner attentivement les conditions et les restrictions de votre permis afin d'éviter les malentendus et les contraventions.
Au Canada, les biens matrimoniaux sont généralement divisés à parts égales entre les deux parties, en tenant compte de facteurs tels que la contribution de chaque conjoint, la valeur des biens et l'intérêt supérieur des enfants communs.