Le fait de ne pas avoir de racines dans votre pays d'origine peut-il vous priver de la possibilité d'obtenir un visa d'études au Canada ? 

La réponse est oui. Sans aucun doute, vos racines sont l'un des facteurs les plus importants lors de la demande d'un permis d'études ; plus vos racines sont importantes, plus vous avez de chances que le fonctionnaire ne mette pas en doute votre capacité à retourner dans votre pays d'origine et/ou à terminer la période de temps autorisée par le gouvernement canadien.

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Cependant, que se passe-t-il lorsque les conditions dans votre pays d'origine ne vous permettent pas de prendre pied, ou lorsque vous avez commencé une nouvelle vie dans un pays différent de votre pays d'origine et qu'il n'est pas possible de prendre pied ?

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Immiland est un pionnier dans le domaine de l'immigration canadienne, non seulement parce qu'il dispose de professionnels honnêtes et engagés, mais aussi parce qu'il a créé un précédent dans l'immigration canadienne et dans la vie de centaines de personnes en sortant des sentiers battus et en traitant chaque visa comme un cas unique. C'est pourquoi nous avons décidé de vous donner trois conseils à prendre en considération pour renforcer vos racines, si vous n'avez pas d'actifs, de liens professionnels ou personnels forts avec votre pays d'origine :

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1. membres de la famille handicapés ou âgés : nous sommes nombreux à avoir des membres de notre famille qui ont besoin de soins supplémentaires en raison de leur âge avancé ou de leur handicap. Si vous avez des frères et sœurs, la responsabilité peut être partagée, mais si vous êtes enfant unique, il peut être très inquiétant de laisser les membres de votre famille dans votre pays d'origine avec de telles difficultés pendant que vous voyagez au Canada. Les fonctionnaires de l'immigration tiennent généralement compte de ces facteurs lorsqu'ils prennent une décision et le fait de démontrer que vous avez des membres de votre famille vulnérables dans votre pays d'origine peut renforcer considérablement vos racines. 

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2. Possibilités d'emploi : s'il est trop difficile pour vous d'obtenir une lettre de réembauche ou une lettre d'offre d'emploi. Immiland vous conseille de sortir des sentiers battus en effectuant une recherche des emplois que vous pourriez occuper à votre retour dans votre pays d'origine, démontrant ainsi qu'il existe un marché du travail pour la profession que vous allez étudier au Canada.

3. Héritages futurs : les héritages d'un membre de la famille sont un exemple clair d'obligation pour laquelle nous devons retourner dans nos pays tôt ou tard, si nous n'avons pas de biens mobiliers et immobiliers dans notre pays d'origine. Cependant, la rédaction d'un testament est généralement un processus fastidieux et chronophage. Par conséquent, une alternative rapide et intelligente consiste à faire établir une déclaration de succession par un commissaire agréé par le gouvernement canadien qui vous offre la possibilité de déclarer les biens d'autrui à l'occasion de votre visa d'études. Chez Immiland, nous offrons ce service.

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Enfin, vous devez savoir qu'il n'existe pas de règles spécifiques concernant ce qui doit être présenté comme arraigo et ce qui ne doit pas l'être. Par conséquent, nous vous invitons à ne pas vous décourager, à sortir des sentiers battus et à obtenir des preuves de tous les arguments que vous avez dans votre pays, de cette façon vous créerez des certitudes dans vos arguments et très bientôt vous atteindrez vos objectifs.

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Si vous ne savez toujours pas comment entamer votre parcours pour émigrer au Canada, nous vous invitons à avoir une consultation d'immigration avec nos conseillers.

Si vous souhaitez que nous fassions la demande de visa pour vous, vous pouvez demander un devis et louer nos services.

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Avec amour,

Immiland.

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