Il est désormais plus facile pour les citoyens de n'importe quel pays de travailler au Canada grâce au programme de mobilité des francophones. sans avoir besoin d'une EMI positive !

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C'est une excellente nouvelle pour l'année 2023, car à partir du 15 juin, le Venezuela, l'Argentine, le Paraguay, le Panama, en bref, les citoyens de toute nationalité pourront entrer au Canada, à l'exception de la province de Québec, avec un permis de travail facilité dans n'importe quel domaine de travail, à l'exception du secteur agricole, et ils bénéficieront ainsi des mêmes avantages que les citoyens du Pérou, de la Colombie, du Chili, du Panama et du Mexique. Ce nouveau programme de migration s'appelle Mobilité francophone ou Francophone Mobility. Dans cet article, nous expliquons comment il fonctionne et qui peut en bénéficier.

La première chose à savoir est que le gouvernement canadien a indiqué que cet établissement cherche à promouvoir la langue française dans les communautés minoritaires francophones en dehors de la province de Québec, de sorte qu'un niveau de français de base est requis, et que le pays recherche des employés étrangers pour occuper les emplois qu'il n'a pas été en mesure de pourvoir avec ses propres citoyens canadiens ; des professionnels de tous les domaines, y compris des architectes, des ingénieurs, des comptables, etc, des techniciens, des ouvriers du bâtiment, des chauffeurs routiers, etc., et le plus beau, c'est qu'ils n'ont pas besoin d'une évaluation positive de l'impact sur le travail (EIMT).

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Quelles sont les conditions à remplir pour poser sa candidature ?

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• Démontrer un niveau minimum de français CLB 5, c'est-à-dire une maîtrise de la langue à un niveau conversationnel, à l'écoute et à l'oral. Il est important de noter que la langue de travail ne doit pas nécessairement être le français, mais peut également être l'anglais ou même l'espagnol.

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Vous pouvez suivre le cours de français avec nous pour obtenir le CLB 5 en cliquant sur ce lien : https://www.planeta-immiland-education.com/store-mobilite-francophone

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• Obtenir une offre d'emploi dans votre domaine ou secteur de travail dans l'une des catégories TEER/NOC, à l'exception de l'agriculture. En outre, vous devez vous assurer que vous répondez exactement aux exigences de votre CNP/CTER en termes de formation et d'expérience professionnelle, car vous devez en fournir la preuve dans votre demande de permis de travail.  

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Une fois que vous avez reçu l'offre d'emploi, votre employeur doit la valider dans le portail de l'employeur, sous le code C16, afin d'obtenir le code d'exemption LMIA, qui sera nécessaire pour demander le permis de travail. 

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Des informations détaillées sont disponibles sur le site officiel de l'IRCC : https://www.canada.ca/en/immigration-refugees-citizenship/corporate/publications-manuals/operational-bulletins-manuals/temporary-residents/foreign-workers/exemption-codes/canadian-interests-significant-benefit-mobilite-francophone-r205-exemption-code-c16.html

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Qui peut en bénéficier ?

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Tout citoyen de n'importe quel pays du monde exerçant une profession ou un métier, à l'exception des agriculteurs, y compris tous les CNP/TEER, plus CNP 0 A, B, C ou D, TEER 0, 1, 2, 3, 4, 5. En ce sens, vous pouvez postuler à une offre d'emploi au Canada, à l'exception de la province de Québec, mais vous devez avoir une expérience professionnelle dans votre pays et démontrer votre niveau de formation dans le domaine, sinon votre candidature ne sera pas valide. Les médecins, les avocats, les architectes, les designers, les maçons, les chauffeurs, les soudeurs, entre autres, sont éligibles pour autant qu'ils puissent démontrer leur expérience et leurs connaissances dans le domaine.

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La famille du demandeur peut-elle également poser sa candidature ?

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Oui, le partenaire et les enfants peuvent déposer une demande en même temps que le demandeur. Le partenaire peut demander un permis de travail ouvert, les enfants de 0 à 5 ans peuvent entrer avec un visa touristique et les enfants de moins de 22 ans peuvent entrer avec un visa d'études.

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Comment prouver son niveau de français si on l'a déjà ?

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Le candidat peut démontrer qu'il maîtrise la langue au niveau 5 des NCLC en apportant les preuves suivantes :

• Résultats du test d'évaluation du français (TEF) ou du test de connaissance du français (TCF).
• Une confirmation écrite d'un établissement d'enseignement supérieur ou d'une université concernant un programme suivi en français (par exemple une lettre officielle de fin d'études ou un relevé de notes).
• D'autres documents témoignant de l'enseignement en français.

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Que se passe-t-il si je pose ma candidature avec un niveau de français inférieur à CLB 5 ?

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Si le demandeur a postulé et rempli toutes les conditions, mais n'a pas atteint le niveau de base requis en français, l'agent d'immigration, qui l'interrogera en français, se rendra compte qu'il ne maîtrise pas la langue, et les documents qu'il a envoyés dans sa demande seront considérés comme faux, de sorte que le visa canadien lui sera refusé et qu'il sera expulsé. 

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Combien de temps faut-il pour apprendre le français de base CBL 5 ?

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Ne vous inquiétez pas si vous ne parlez pas encore français, selon l'expérience de notre académie Planeta Immiland, un étudiant peut atteindre le niveau de français CBL 5 en trois mois ou 12 semaines environ, si vous y consacrez trois heures par jour, et une fois que vous l'avez atteint, vous avez déjà la première condition pour le visa. Rappelez-vous que ce qui annule l'EMI positive dans cette option de migration est le niveau CLB 5. 

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Chez planeta Immiland, nous vous proposons un plan abordable pour apprendre à parler français en trois mois, les cours ont lieu du lundi au jeudi et vous ne devez y consacrer que trois heures par jour, profitez de cette option et réalisez votre rêve canadien ! 

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Si vous souhaitez obtenir des conseils en matière d'éducation, cliquez ici https://www.planeta-immiland-education.com/store-mobilite-francophone

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Avec amour,

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Immiland

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