20 mythes et faits sur le visa canadien : qui dois-je croire ?
Il est très courant de demander à sa famille, à ses amis ou à ses connaissances comment s'est déroulée leur demande de visa canadien afin de se faire une idée de ce que sera leur propre procédure de demande. Cependant, chez Immiland, nous pensons que ce n'est pas très pratique, car chaque profil est différent et ce qui a fonctionné pour un membre de la famille ou un ami ne fonctionnera pas nécessairement pour vous. Cette pratique a créé une fausse idée de la procédure de demande de visa pour le Canada.
Voici des mythes et des faits sur le visa canadien qui vous aideront certainement à dissiper vos doutes, car chaque réponse est basée sur le droit canadien.
S'agit-il d'un mythe ou d'une réalité ?
1. La nationalité n'a pas d'importance
C'est un mythe. Bien qu'il soit difficile de le croire, pour de nombreuses personnes, la nationalité a de l'importance lorsqu'il s'agit de demander un visa canadien. Certaines nationalités sont jugées plus sévèrement que d'autres en raison de la position politique ou économique du pays dans la communauté internationale. Cependant, tout n'est pas perdu. En fait, chez Immiland Canada, nous avons obtenu des visas de presque tous les pays des Amériques, y compris de certaines nationalités européennes.
Notre meilleure recommandation est de vous concentrer sur la présentation et la documentation correctes de votre demande et non sur votre nationalité.
2. Il est important d'avoir voyagé dans d'autres pays avant de demander un visa temporaire au Canada.
C'est une réalité. Lorsque vous demandez un visa pour le Canada, l'agent vérifiera l'historique de vos voyages dans votre passeport et examinera les cachets d'entrée et de sortie de vos derniers voyages, afin d'interpréter que vous étiez dans un autre pays et de respecter la durée du séjour ; par conséquent, si vous n'avez jamais voyagé en dehors de votre pays et que votre passeport ne comporte aucun cachet ou que votre dernier voyage remonte à plus d'un an et que vous l'avez effectué à proximité de votre pays, vous avez de grandes chances de voir votre visa refusé. Par conséquent, si vous souhaitez augmenter vos chances d'obtenir un meilleur profil pour le Canada, il est conseillé de voyager en dehors de votre pays d'origine et d'essayer de ne pas vous rendre dans un pays voisin.
Quant au visaaméricain/carte verte, il n'est pas nécessaire d'en avoir un. C'est un mythe de croire que le Canada prend en compte ce visa de manière décisive, en fait, le gouvernement canadien peut l'approuver, même si vous n'avez pas voyagé aux États-Unis. Cependant, si vous n'avez pas un très bon profil pour demander un visa américain, ne le demandez pas. De nombreux conseillers pédagogiques recommandent de demander un visa touristique aux États-Unis, mais sachez qu'en cas de refus, votre profil sera affecté au Canada, puisque vous devrez déclarer ce refus pour votre visa canadien, ce qui peut vous désavantager. Si vous n'avez pas de visa américain, que vous n'êtes jamais allé aux États-Unis et que votre profil n'est pas assez bon pour aller aux États-Unis, ne présentez pas de demande et évitez de frapper à cette porte, car il peut être négatif pour vous de demander un visa canadien. Cependant, le fait d'avoir un visa américain vous fera gagner des points supplémentaires auprès du gouvernement canadien, c'est un fait. Bien que le fait d'avoir un visa américain ne vous garantisse pas l'autorisation de venir au Canada, le fait d'avoir déjà effectué des voyages aux États-Unis et de vous être conformé aux lois américaines en matière d'immigration vous donne des points supplémentaires, étant donné que les deux pays échangent constamment des informations.
3. Votre ami a été accepté en quatre semaines, vous serez donc également accepté en quatre semaines.
C'est un mythe. Chaque profil est différent et le seul à contrôler les délais d'attente pour un visa au Canada est IRCC. Par conséquent, le délai d'approbation du visa de votre ami ne sera pas nécessairement le même pour vous. Gardez à l'esprit que chaque profil d'immigration est différent, même s'ils demandent le même visa.
4. Seuls les adultes peuvent demander un visa canadien.
Il s'agit d'un mythe. Le Canada ne fait pas de discrimination sur la base de l'âge. S'il est vrai qu'un mineur doit satisfaire à davantage d'exigences supplémentaires qu'un adulte, il ne court pas le risque de se voir interdire de demander un visa ou de se le voir refuser.
N'oubliez pas que chaque demandeur planifie son propre parcours migratoire et qu'il n'est pas très utile de se comparer à d'autres demandeurs. Ce qui importe vraiment, c'est le contenu de votre documentation et la manière dont vous présentez votre demande de visa canadien.
5. Je peux facilement retirer l'argent dont j'ai prouvé la solvabilité financière avant d'arriver au Canada.
Il s'agit d'un mythe. Lorsque vous demandez un visa, vous devez envoyer, au préalable, les trois derniers relevés de votre compte ou de celui de vos sponsors. Il y a des demandeurs qui envoient leurs relevés bancaires et qui, après avoir demandé un visa, retirent l'argent, ne le faites pas ! car cela ne fonctionne pas comme ça. Sachez que lorsque vous entrez dans le pays, l'agent d'immigration a le pouvoir de vous demander tous les éléments que vous avez montrés pour demander le visa, y compris la solvabilité financière, et il ou elle découvrira que cet argent a été utilisé, ce qui signifie que ces fonds ne sont pas exactement assez stables pour vous permettre de couvrir votre séjour et l'agent peut déterminer qu'il y a un risque que vous deveniez une charge publique pour l'État et vous refuser l'entrée au Canada.
6. Toutes les procédures de migration exigent la présentation d'une solvabilité financière, sauf pour les parrains familiaux/parrainages.
C'est une réalité. Lors d'une demande de visa au Canada, à l'exception du parrainage de membres de la famille immédiate tels qu'un partenaire, la solvabilité financière est exigée. Par conséquent, toute personne souhaitant venir au Canada pour étudier, travailler, faire du tourisme, bénéficier d'une procédure d'entrée accélérée ou d'une désignation provinciale, atlantique ou rurale doit être financièrement solvable. Chez Immiland, nous vous recommandons toujours d'ouvrir un compte bancaire dans votre pays d'origine et de commencer à épargner, ce qui vous sera utile lorsque vous devrez présenter des preuves et, en outre, lorsque vous arriverez au Canada, vous aurez de l'argent dans le pays.
Visitez notre site web dans la section Établissement, où vous trouverez différents services, dont le service d'ouverture de compte bancaire, qui vous seront d'une grande aide dans votre démarche.
7. Je dois prouver que j'ai des racines pour que le visa soit approuvé.
C'est une réalité. Si vous avez des preuves insuffisantes ou faibles de vos racines dans votre pays, l'agent peut vous refuser un visa parce qu'il ou elle pense que vous n'avez aucune raison de respecter le temps indiqué sur votre visa, n'oubliez pas que le visa temporaire a une date de début et une date de fin. En tant que demandeurs, nous avons l'obligation de démontrer au Canada que nous avons des raisons de retourner dans notre pays d'origine à l'expiration du visa, faute de quoi celui-ci risque d'être refusé.
Comment l'enracinement se manifeste-t-il ? Par un emploi stable, une famille, des biens mobiliers et immobiliers, entre autres. Voir le blog suivant avec vidéo incluse : Without roots there is no visa in Canada, voici en détail les raisons qui s'appliquent pour démontrer que vous avez des racines solides qui vous feront retourner dans votre pays d'origine, ce qui est un élément très convaincant pour l'agent d'immigration. Vous devez également savoir qu'il ne suffit pas de démontrer que vous avez des racines dans votre pays d'origine pour obtenir un visa, le gouvernement canadien prend en compte d'autres éléments lorsqu'il examine votre demande.
8. Le Canada a besoin de résidents et le visa sera donc approuvé.
C'est un mythe. S'il est vrai que le Canada apprécie grandement l'arrivée d'étrangers pour étudier, travailler et vivre ici, et qu'il s'agit d'un pays composé de nombreux migrants, il ne faut pas tenir pour acquis que toutes les personnes qui présentent une demande verront leur visa approuvé. En fait, le gouvernement canadien est très attentif à l'examen du profil de chaque demandeur et donnera toujours la priorité à ceux qui présentent le meilleur profil.
9. Pour travailler ou demander un visa de travail au Canada, une offre d'emploi est nécessaire.
C'est une réalité. Sans offre d'emploi, il n'y a pas de visa. Personne ne peut venir au Canada avec un visa fermé, ce qui signifie qu'il vient pour occuper un emploi spécifique et travailler pour un employeur spécifique, s'il n'a pas d'abord une offre d'emploi. Par exemple, si vous voulez travailler au Canada et que vous n'avez pas de partenaire qui vient étudier ou que votre pays n'a pas de visa Vacances-Travail, vous devez venir avec une offre d'emploi. Une fois que vous aurez reçu l'offre d'emploi, vous pourrez demander un visa de travail au Canada. S'il n'y a pas d'offre d'emploi sûre, il n'y a pas de visa de travail à demander.
10. Il n'est pas conseillé de changer de profil académique lorsque vous venez étudier au Canada.
C'est une réalité. Tout d'abord, Immiland recommande de conserver à 100 % le fil logique de ce que vous avez étudié et travaillé dans le passé, mais cette séquence ne suffit pas, le demandeur doit également démontrer que la nouvelle formation obtenue au Canada est liée à ce que vous avez fait dans votre pays d'origine et que vous serez en mesure de l'appliquer dans votre travail avec un profil plus élevé lorsque vous retournerez dans votre pays d'origine. Cette démonstration sera utile.
11. Le fait de remplir toutes les conditions requises pour étudier au Canada garantit l'obtention du visa.
Il s'agit d'un mythe. L'agent d'immigration aura toujours le pouvoir d'accepter ou de refuser un visa. Personne n'est assuré d'obtenir un visa au Canada. Comme l'a dit un sage éducateur en droit de l'immigration canadien, nous citons : "voyager au Canada n'est pas un droit mais un privilège". De bons documents vous permettront d'être bien évalué par l'agent d'immigration, qui décide si vous entrez ou non dans le pays.
12. Si j'obtiens les 60 points pour la nomination provinciale ou les 67 points pour l'entrée accélérée, j'obtiens la résidence.
Il s'agit d'un mythe. Pour l'entrée accélérée, par exemple, des centaines de milliers de personnes ont 67 points, ce qui est le minimum requis pour postuler, mais le Canada n'accorde pas la résidence permanente aux personnes ayant des scores faibles ou minimes, le gouvernement canadien se concentre sur les meilleurs profils et scores. En fait, il y a une grande différence entre être éligible et être admissible dans le cadre du processus d'immigration canadien. Dans ce cas, avoir les 60 points pour la désignation provinciale et/ou les 67 points pour l'entrée accélérée vous rend éligible, mais ce qui vous rend admissible à la résidence permanente par l'intermédiaire de l'un ou l'autre de ces programmes est d'avoir un score plus élevé et plus compétitif.
Chez Immiland, nous recommandons de toujours augmenter ce score minimum et de l'optimiser. Par exemple, si votre niveau d'anglais est de 5 ou 7, concentrez-vous sur son amélioration grâce à un cours ou à l'auto-apprentissage, pour atteindre un niveau de 8 ou 9. Si votre niveau de français est basique, tirez parti de cet élément et cherchez à l'améliorer pour qu'il ajoute plus de points à votre profil. Si vous avez commencé l'université et n'avez pas terminé votre master, faites de votre mieux pour le terminer. Ne vous arrêtez pas à 2 ans d'expérience professionnelle minimum, faites 2 ans de plus et passez à 4 ans.
Visitez notre académie d'éducation Plantea Immiland, vous y trouverez des informations intéressantes pour commencer à améliorer votre anglais ou votre français. Nous vous proposons ici un test d'évaluation de niveau gratuit que vous pouvez effectuer à votre convenance.
13. La langue est une condition préalable à l'obtention d'un visa canadien.
C'est une réalité. L'anglais est obligatoire. Une fois que vous avez déposé votre demande de résidence, vous devez déjà parler anglais. Si vous êtes au Québec, vous devez connaître le français. Si vous voulez participer à un plan d'immigration, la langue sera toujours un élément indispensable.
14. Mon partenaire au Canada, qui est résident ou citoyen, peut être mon parrain/marraine.
C'est une réalité. Votre conjoint, concubin ou partenaire démontrable entre automatiquement dans la catégorie du parrainage familial et vous pouvez venir au Canada. Si vous êtes à l'étranger et que vous avez des enfants seuls à la suite d'une autre relation, votre conjoint/partenaire actuel au Canada peut vous parrainer , vous et l'enfant issu de cette relation. C'est très positif, car vous deviendrez résident permanent en même temps que votre enfant. Toutefois, n'oubliez jamais que chaque demande comporte des éléments importants à prendre en considération et que toutes les conditions doivent être pleinement remplies pour que votre visa soit approuvé. Les partenaires cohabitants ne doivent pas nécessairement être mariés, mais ils doivent prouver, à l'aide de documents tels qu'un bail de 12 mois, des comptes bancaires communs ou toute autre preuve, qu'ils entretiennent une relation stable.
Dans le cas d'une tante (cousine, sœur, enfant, autre) au Canada, le parrainage familial dépendra de ce qui suit : lorsque vous avez un parent au Canada, qu'il s'agisse d'un cousin, d'un frère ou d'une sœur, etc., le gouvernement canadien autorise le parrainage familial; si vous êtes résident canadien et que vous n'avez personne au Canada (conjoint, petit ami/petite amie, ami, enfants), c'est-à-dire que vous êtes complètement seul, c'est là que le parrainage familial entre en ligne de compte. Dans le cas contraire, il ne s'applique pas, alors demandez conseil pour que votre visa ne soit pas rejeté et que vous n'engagiez pas de dépenses inutiles. Consultez les informations officielles sur le parrainage familial.
15. Les enfants en âge scolaire peuvent étudier gratuitement au Canada.
C'est une réalité. Un étudiant, un travailleur ou un résident permanent au Canada peut inscrire son enfant dans une école primaire ou secondaire publique pour étudier gratuitement, mais s'il veut s'inscrire dans une école publique, il peut aussi le faire, mais ces écoles sont assez chères. Visitez le site officiel du Conseil des ministres de l'éducation du Canada pour en savoir plus sur les initiatives en matière d'éducation.
16. Pour demander un visa canadien, je dois faire appel à un consultant en immigration.
C'est un mythe. Toutes les procédures d'immigration au Canada sont conçues de manière à ce que vous puissiez déposer votre demande sans avoir besoin d'un consultant en immigration. En fait, le site officiel du gouvernement canadien, https://www.canada.ca/en.html, explique très bien les exigences et autres éléments que le demandeur doit posséder. Si vous comprenez l'anglais ou le français, que vous savez comment interpréter le processus de demande, que vous pouvez créer votre profil et que vous connaissez les points positifs et négatifs de votre admissibilité, vous n'avez pas besoin d'engager un consultant. Le consultant intervient lorsque la personne ne comprend pas un élément de la procédure ou ne comprend pas la technologie, ne sait pas utiliser l'ordinateur, etc. et intervient également lorsque la personne a des doutes sur une exigence et préfère l'avis d'un expert en immigration.
17. Si un consultant réglementé traite ma demande, mon visa sera approuvé.
C'est un mythe. Malheureusement, ce n'est pas le cas. Le travail du consultant consiste à connaître les éléments de votre demande pour les placer dans le bon plan d'immigration, afin que votre demande soit bien faite et aussi complète que possible pour expliquer tout ce qui est nécessaire à l'agent d'immigration, mais c'est l'agent d'immigration qui a le dernier mot quant à l'approbation ou non du visa. Le consultant a le droit de procéder à une évaluation approfondie des besoins du demandeur et de ce qui doit être amélioré, par exemple son anglais, s'il doit créer une base économique plus solide pour prouver ses fonds, etc.
18. Les consultants en migration réglementés sont en contact direct avec les agents chargés de l'approbation des visas.
Il s'agit d'un mythe. Les consultants en immigration n'ont qu'un accès direct aux modifications de la législation et à l'actualité en matière d'immigration parce que nous étudions en permanence, mais il n'y a aucune communication directe d'aucune sorte pour faire approuver un visa, sans parler de la possibilité que de l'argent soit distribué en échange d'un favoritisme avec un certain client. Cela n'existe pas. Lorsque vous engagez un consultant en immigration, vous engagez un consultant en immigration, le dernier mot sur l'approbation du visa revient à l'officier d'immigration.
A propos du processus d'évaluation mené par Immiland Canada et ses consultants
Nous avons souhaité ajouter cette section afin de dissiper les doutes concernant le travail que nous effectuons avec nos clients et les délais et modalités de traitement de leurs demandes respectives. Vous trouverez ci-dessous quelques questions directes qui nous ont été posées et nous voulons que vous sachiez pourquoi nous les traitons :
19) Si le visa m'est refusé après avoir déposé une demande auprès d'Immiland Canada, leurs consultants cesseront de répondre aux messages parce qu'il n'y a plus rien à traiter.
Il s'agit d'un mythe. Ce n'est pas parce qu'une personne dépose une demande auprès d'Immiland ou de tout autre cabinet de conseil en immigration que son visa sera approuvé. Pour mieux comprendre le processus, si un visa vous est refusé, Immiland évaluera la raison du refus et demandera un ATIP (accès à l'information et à la vie privée), un outil qui permet d'accéder aux dossiers des institutions du gouvernement canadien, puis de découvrir la raison exacte pour laquelle le visa a été refusé et de comprendre ce qu'il faut faire pour que la demande de visa aboutisse la prochaine fois.
Le délai de réponse à la raison d'un refus de visa est dû au fait que l'ATIP prend environ 40 jours pour nous parvenir, de sorte que nous ne communiquons pas avec les clients pendant cette période, mais une fois que nous avons la lettre, nous donnons des informations complètes et des conseils sur la manière de présenter une nouvelle demande. L'important, en cas de refus de visa, est de comprendre la raison du refus, afin de trouver un moyen d'améliorer votre profil et de présenter une nouvelle demande.
20. Eddy Ramirez, fondatrice, consultante et CEO d'Immiland, est la seule à pouvoir répondre à toutes les évaluations gratuites des personnes qui la contactent quotidiennement.
C'est un mythe. En tant que consultant et PDG d'Immiland, en plus de répondre aux évaluations gratuites, de traiter un grand nombre de clients au quotidien, de télécharger des vidéos explicatives sur la chaîne YouTube d'Immiland et de faire des demandes de visa, je dirige cette entreprise et je m'assure que tout se passe bien. Je travaille donc avec une équipe de consultants experts de la CICC réglementés par le gouvernement canadien, dont beaucoup ont été nommés dans certains pays afin de pouvoir effectuer l'évaluation gratuite.
Jusqu'à présent, nous avons essayé de clarifier vos doutes. Chez Immiland Canada, nous offrons une large gamme de services d'immigration et d'emploi, nous sommes des traducteurs agréés, nous aidons les immigrants à s'installer dans ce pays et nous offrons des possibilités d'études grâce à nos accords avec les universités. Vous pouvez envoyer un courriel à Info@immilandcanada.com pour prendre contact avec nous et vous aider dans tout ce dont vous avez besoin. Vous pouvez également consulter notre site web ici.
Avec amour,
Immiland
Remarque : Cet article ne constitue pas un conseil juridique ou un avis juridique de la part d'un avocat. Il a pour seul but d'informer les lecteurs sur certains aspects des détails du droit en matière juridique.